SAUVER LA VIE DE PRISONNIER POLITIQUE SAHRAOUIE YAHIA MOHAMED ELHAFED
YAHIA MOHAMED EL HAFED, prisonnier politique sahraoui, membre de la CODESA, 43 ans, père de trois enfants et de supporter sa famille, a été arrêté le 29 Février, 2008 et torturé depuis ce temps-là pour ses opinions politiques et l'activisme en faveur des droits de l'homme les territoires occupés du Sahara occidental.
La Cour d'Agadir a condamné à 15 ans de prison et incarcérés dans une cellule avec des prisonniers communs. Le processus judiciaire, comme c'est l'usage dans des cas contre les militants sahraouis, pas rempli une des conditions de base nécessaires et obligatoires pour tout processus, à commencer par le cas contre eux, toujours faux.
Face à l'humiliation reçue, Yahia et ses camarades, les prisonniers politiques sahraouis, Hasana Jalad et Mahmoud El Barkaui, a commencé une grève de la faim depuis le jour 4 avril pour faire respecter leurs droits fondamentaux en tant que prisonniers politiques, et demandent à être séparés des prisonniers communs et de la droit de recevoir des visites de leurs familles, l'accès de la presse, etc...
La réponse de l'administration pénitentiaire de Inzegan a été impitoyable et violent. Menotté et battu, Yahia Mohamed Elhafed et son compagnon Bouba Najem ont été prises à la prison de Ait Meloul et détenu en isolement cellulaire.
Malade et affaibli par la grève de la faim qui a duré 43 jours et la situation inhumaine qui vit dans sa cellule, de la santé de Yahia Mohamed Elhafed est extrêmement grave.
En Mai 15, des agents de la prison marocaine de Eit Melloul (Maroc), où il était détenu à l'isolement depuis le début du mois d'avril, le prit par la force et sans le consentement à l'hôpital dans la ville d'Agadir.
C'est pourquoi nous demandons à toutes les associations de solidarité et tous les amis du peuple sahraoui, à prendre des mesures concrètes à exiger un traitement digne et équitable pour tous les détenus politiques sahraouis et à leur libération immédiate.
Mesures à prendre:
* Démonstration avec des photos de Yahia Mohamed Elhafed et les autres prisonniers politiques sahraouis dans les ambassades et les consulats marocains, avec la livraison de lettres.
* Envoyer des lettres aux autorités marocaines et espagnoles et l'ONU.
* Suspension de bannières et d'images dans des lieux divers, exigeant la libération immédiate des prisonniers politiques Saharuis dans des prisons marocaines.
La Cour d'Agadir a condamné à 15 ans de prison et incarcérés dans une cellule avec des prisonniers communs. Le processus judiciaire, comme c'est l'usage dans des cas contre les militants sahraouis, pas rempli une des conditions de base nécessaires et obligatoires pour tout processus, à commencer par le cas contre eux, toujours faux.
Face à l'humiliation reçue, Yahia et ses camarades, les prisonniers politiques sahraouis, Hasana Jalad et Mahmoud El Barkaui, a commencé une grève de la faim depuis le jour 4 avril pour faire respecter leurs droits fondamentaux en tant que prisonniers politiques, et demandent à être séparés des prisonniers communs et de la droit de recevoir des visites de leurs familles, l'accès de la presse, etc...
La réponse de l'administration pénitentiaire de Inzegan a été impitoyable et violent. Menotté et battu, Yahia Mohamed Elhafed et son compagnon Bouba Najem ont été prises à la prison de Ait Meloul et détenu en isolement cellulaire.
Malade et affaibli par la grève de la faim qui a duré 43 jours et la situation inhumaine qui vit dans sa cellule, de la santé de Yahia Mohamed Elhafed est extrêmement grave.
En Mai 15, des agents de la prison marocaine de Eit Melloul (Maroc), où il était détenu à l'isolement depuis le début du mois d'avril, le prit par la force et sans le consentement à l'hôpital dans la ville d'Agadir.
C'est pourquoi nous demandons à toutes les associations de solidarité et tous les amis du peuple sahraoui, à prendre des mesures concrètes à exiger un traitement digne et équitable pour tous les détenus politiques sahraouis et à leur libération immédiate.
Mesures à prendre:
* Démonstration avec des photos de Yahia Mohamed Elhafed et les autres prisonniers politiques sahraouis dans les ambassades et les consulats marocains, avec la livraison de lettres.
* Envoyer des lettres aux autorités marocaines et espagnoles et l'ONU.
* Suspension de bannières et d'images dans des lieux divers, exigeant la libération immédiate des prisonniers politiques Saharuis dans des prisons marocaines.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire